Cet article est fort intéressant, mais il comporte un biais. C’est un point de vue de traducteur, et c’est le point de vue qu’il faut avoir pour survivre comme traducteur : toute croyance en l’éditeur ou le collectif éditorial est à proscrire, car ce serait baisser la garde face à des commerçants, puisqu’ils sont les intermédiaires avec le marché, et se condamner à se faire dévaliser au coin d’un bois par empathie mal placée. Par contre, l’éditeur (opérant sur un marché, donc commercial) ne peut se passer de "la vocation". Sans vocation, pas de travail de ce type. On ne peut pas "ne pas croire" sinon on ne (...)