26 mois accomplis après la révocation en octobre 2008 de sa semi-liberté.
Plus de deux années supplémentaires d’emprisonnement pour des mots que la Justice a qualifiés d’"ambigus".
Georges Cipriani et Nathalie Ménigon, ses camarades d’Action directe, sont aujourd’hui en semi-liberté ou en liberté conditionnelle.
Dans la prison de Muret, Jean-Marc Rouillan attend, lui, que soit enfin fixée la date d’examen de sa demande de libération. Au début de la prochaine année 2011 ?
Jean-Marc Rouillan doit sortir de prison : comme chaque mois, nous viendrons le dire lors du
RASSEMBLEMENT
jeudi 2 décembre, de 18 h à 19 h
en face de la direction de l’Administration pénitentiaire
carrefour rue de la Verrerie - rue du Renard (Paris 4e - Métro L1/L11 : Hôtel-de-Ville)
Le Collectif "Ne laissons pas faire !"
nlpf chez samizdat.net - http://nlpf.samizdat.net/
Libération des prisonniers d’Action directe !
Contact : nlpf chez samizdat.net