Une tribune pour les luttes

17-18-19 Nov. : Journées de mobilisation internationale pour la libération des détenus politiques au Maroc

Stop à la répression au Maroc

Samedi 19 novembre Avignon : 15 h : Rassemblement sur la place de l’horloge + Débat,
organisés par Le collectif sud de la France de solidarité avec le mouvement du 20 février au Maroc.
Covoiturages à partir de Marseille : à 13h30 devant le siège de radio Galère(41, rue Jobin 13003 Marseille).

Article mis en ligne le samedi 19 novembre 2011

17-18-19 Nov. : Journées de mobilisation internationale pour la libération des détenus politiques au Maroc

Depuis le 20 février dernier, et pour handicaper et intimider le Mouvement populaire, le pouvoir marocain utilise à la fois la démagogie, les tentatives de pseudo-réformes et une répression ciblée, allant jusqu’au crime en passant par la torture et l’arrestation. Aux étudiants, lycéens, salariés, paysans et retraités manifestant pour l’amélioration de leurs conditions de vie, la réponse du pouvoir est toujours la même : arrestations arbitraires et tortures.

Les convocations policières, les enlèvements et les arrestations arbitraires se multiplient et n’épargnent presque aucune région du Maroc (Rabat, Salé, Casablanca, Fès, Tanger, Safi, Tiflet, Youssoufia, Ouazzane…). Les informations qui nous parviennent sont alarmantes. Les révélations des rescapé-e-s de l’escalades policière actuelle s’accordent à dénoncer les mauvais traitements, tortures et autres interrogatoires portant sur la liberté d’opinion et particulièrement sur le choix politique d’appeler au boycott des élections du 25 novembre.

Face à cette politique répressive, le Mouvement du 20 février résiste et s’amplifie. Il mobilise des femmes et des hommes qui ne peuvent plus supporter le mensonge des promesses, la servitude, la corruption, le mépris et le non droit. Malgré l’omerta et l’intimidation, il manifeste toutes les semaines dans plusieurs villes et tous les mois au niveau national.

A l’étranger, les Marocains se mobilisent aussi dans plusieurs villes (voir programme ci-dessous) pour faire connaître la portée de ces revendications pour la démocratie et dénoncer les complicités entre le makhzen et les gouvernements occidentaux.

Le collectif Mamfakinch se joint à cette initiative et appelle à une campagne de solidarité interactive pour la libération des détenus politiques et d’opinions. Nous suggérons aux internautes et aux bloggeurs d’y participer en nous envoyant leurs textes sur cet email contact chez mamfakinch.com qu’on publiera durant les journées du 17, 18 et 19 novembre sur notre site.

Programme en France :


Samedi 19 novembre :

Paris :

De 15 à 19h : Rassemblement artistique en soutien aux prisonniers politiques marocains à Belleville (métro Belleville).


Avignon
(Sud de France) :

15 h : Rassemblement sur la place de l’horloge

16 h 30 : Débat « détention politique et situation sociale et économique au Maroc » avec le témoignage de Habiba Kabbouri, sœur du détenu politique Saddik Kabbouri

19 h : soirée musicale avec Said Zerouali et Afedjah : chansons engagées, repas( couscous).
Lieu : Impasse laure de nove 84000 Avignon


Montpellier :

De 9h à 12h30 à l’espace Martin Luther-King,
Conférence dans le cadre de la quinzaine du tiers monde, avec entre autres Abel Haidoux du comité de soutien du 20 février Montpellier qui présentera le mouvement du 20 février et la situation des détenus politiques au Maroc,
27 boulevard Louis-Blanc, Montpellier (arrêt de tram Corum).

http://www.mamfakinch.com/journees-...


AVIGNON
le samedi 19 novembre 2011

Pour la libération des détenus politique au Maroc
Boycott des élections du 25 novembre

Comité de Soutien au Mouvement Marocain du 20 février Sud France

- 15 h : Rassemblement sur la place de l’horloge
- 16 h 30 : Débat « détention politique et situation sociale et économique au Maroc » avec le témoignage de Habiba Kabbouri,
Lieu : impasse laure de nove
- 19 h : soirée musicale avec Said Zerouali et Afedjah : chansons engagées, repas (couscous). Même lieu

L’assassinat de plusieurs militants de différentes régions du Maroc montre que le Makhzen n’hésite pas à utiliser le crime comme moyen de contenir la protestation citoyenne

Depuis le 20 février et pour handicaper et intimider le Mouvement populaire, le pouvoir marocain utilise à la fois la démagogie, les tentatives de pseudo-réformes et une répression ciblée, allant jusqu’au crime en passant par la torture et l’arrestation. Aux étudiants, lycéens, salariés, paysans et retraités manifestant pour l’amélioration de leurs conditions de vie, la réponse du pouvoir est toujours la même : arrestations arbitraires et tortures.

Face à cette politique répressive, le Mouvement du 20 février résiste et s’amplifie. Il mobilise des femmes et des hommes qui ne peuvent plus supporter le mensonge des promesses, la servitude, la corruption, le mépris et le non droit. Malgré l’omerta et l’intimidation, il manifeste toutes les semaines dans plusieurs villes et tous les mois au niveau national.

À l’étranger, les marocains se mobilisent aussi pour faire connaître la portée de ces revendications pour la démocratie et dénoncer les complicités entre le makhzen et les gouvernements occidentaux. Aussi, dans le cadre des semaines de solidarité internationale, les différentes coordinations du Mouvement du 20 février ainsi que les différents comités de soutien tout en participant aux évènements divers dans plusieurs villes, organisent les 19 / 20 novembre 2011, au niveau européen et au-delà plusieurs actions et activités.

Au-delà de l’appel au boycott des élections législatives du 25 novembre organisées dans un cadre constitutionnel antidémocratique, nous appelons l’opinion publique et l’ensemble des forces démocratique à se joindre à nous pour dénoncer la politique répressive du pouvoir marocain, donner à la solidarité internationale sa dimension universelle et exiger la libération de tous les détenus politiques au Maroc, dont les militants Saddik Kabbouri et M. Chennou ainsi que le rappeur Alhaqed et l’ensemble des détenus du mouvement du 20 février.


Par le Mouvement Marocain du 20 février Paris/IDF .

Le 25 novembre : Rassemblement du Mouvement Marocain du 20 février

Paris/IDF : STOP A LA REPRESSION AU MAROC

Rassemblement du Mouvement Marocain du 20 février Paris/IDF pour exiger la libération des détenu(e)s politiques.

Rassemblement artistique en soutien aux prisonniers politiques marocains

A l’approche de l’échéance de la mascarade électorale du 25 novembre 2011, le régime marocain hausse le ton et accélère son escalade répressive. La cible ? Les militant-e-s du Mouvement marocain du 20 février et toutes les forces radicales qui militent pour une rupture totale avec l’absolutisme et le despotisme régnant au Maroc.

Après l’échec de sa propagande visant soit de discréditer le Mouvement du 20 février, soit de tenter de redorer son blason par la prise de quelques initiatives politiques trompeuses destinées à rassurer ses donneurs d’ordre impérialistes dont il est le valet et l’allié privilégié dans le Maghreb, le pouvoir commence, face à la détermination et à l’amplification de la lutte du peuple marocain pour la dignité, la liberté et la justice sociale, à abattre ses cartes.

En effet, ces deux dernières semaines, le régime despotique et son appareil répressif montrent leurs dents en allant jusqu’à l’assassinat de manifestants et intensifient les intimidations et les arrestations à l’encontre des voix libres revendiquant une réelle démocratie au Maroc. Les convocations policières, les enlèvements et les arrestations arbitraires se multiplient et n’épargnent presque aucune région de notre pays (Rabat, Salé, Casablanca, Fès, Tanger, Safi, Tiflet, Youssoufia, Ouazzane…)

Les informations qui nous parviennent de l’intérieur du pays sont très alarmantes. Elles témoignent de la férocité de la répression en cours. Les révélations courageuses des rescapé-e-s de l’escalades policière actuelle s’accordent à dénoncer les mauvais traitements, tortures et autres interrogatoires portant sur la liberté d’opinion et particulièrement sur le choix politique d’appeler au boycott des élections du 25 novembre.

Face à cette situation, le Mouvement Marocain du 20 février Paris / Île de France :

● Exprime son inquiétude quant à la recrudescence de la répression à l’intérieur du Maroc

● Adresse son entière solidarité aux détenu-e-s politiques et à leurs familles

● Exige la libération immédiate de tou(te)s les détenu-e-s politiques et à leur tête les militant-e-s du Mouvement marocain du 20 février.

● Exige du régime marocain de cesser immédiatement ses assassinats, arrestations, intimidations et autres atteintes aux droits humains fondamentaux y compris le respect du choix politique des citoyens de se positionner contre la participation et pour le boycott des élections prévues le 25 novembre.

● Alerte l’opinion publique internationale, et particulièrement française, sur les abus du pouvoir marocain contre les libertés fondamentales et les droits humains au Maroc.

● Appelle les Marocains franciliens à rejoindre la lutte de notre peuple et son mouvement du 20 février pour faire valoir ses droits à la dignité, à la liberté et à la justice sociale. Il les appelle aussi à se mobiliser pour faire barrage à un éventuel et prévisible retour aux années de plomb qu’ils ont subies sous le règne du dictateur Hassan II.

● Appelle tout-e-s les ami-e-s du Maroc, et à leur tête les forces démocratiques françaises, à être plus que jamais attentives à la situation actuelle de notre peuple en lui apportant, comme elles l’avaient si bien fait par le passé, leur soutien et leur solidarité.

Dans le cadre de la semaine de solidarité internationale et face au tournant répressif irresponsable que connaît le Maroc,
le Mouvement Marocain du 20 février Paris/Ile-de-France vous appelle à un rassemblement artistique le :

Samedi 19 novembre de 15h à 17h
à Belleville (métro Belleville)

Vive la lutte pacifique du peuple marocain
Vive le Mouvement Marocain du 20 février

Soutenu par :
AMF, ASDHOM, ATMF, FMVJ-France, Amis AMDH-Paris, APADM, FSCME, RIAS, Voie Démocratique, PSU, PADS, CAPDEMA, Cris des Marocains, TAMAYNUT, Collectif des Amazighs de France pour le Changement Démocratique au Maroc, PCF, URIF-CGT, FSU-IDF, NPA, PIR, Forum Palestine Citoyenneté, PG, Manifeste des Libertés, Solidarité Maroc 05, MRE-International, ATTAC, FTCR, PCOT, Union syndicale Solidaires, Institut Mehdi ben Barka, MRAP, AFASPA, Maroc Solidarités Citoyennes.

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Vos commentaires

  • Le 16 novembre 2011 à 10:26, par Christiane En réponse à : Les lutttes au Maroc

    Internationalistes 13


    Maroc. De nouvelles marches

    Depuis le début du Mouvement du 20 février il n’est pas un dimanche sans marches.

    Le 20 novembre devrait être une grande journée dans la mobilisation du peuple marocains pour le boycott des élections du 25 novembre. Hier déjà de puissantes
    manifestations dans plusieurs villes du Maroc.

    Voici les liens vers quelques videos :

    Aït Bouayach

    http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=nNHtOdWyphA

    Khoribga

    http://www.youtube.com/watch?v=NHBew6-T5zQ

    Casablanca

    http://www.youtube.com/watch?v=Q1qceXDZ0p4&feature=player_embedded

    Tanger

    http://www.youtube.com/watch?v=n3NBmHKa6l4&feature=share

    http://www.youtube.com/watch?v=EB0RlUVvwKI&feature=share

    Oujda 

    http://www.youtube.com/watch?v=308DcO0zQhU

     

    Des photos également de la marche de Casablanca : http://solidmar.blogspot.com/2011/11/13-novembre-au-maroc-quelques-marches.html

  • Le 17 novembre 2011 à 08:03 En réponse à : LIBERTÉ POUR MOUAD L7A9D

    Internationalistes 13

    Mouad Belrhouate alias « L7A9D » (l’indigné) est un rappeur et militant du mouvement Maroc 20 février. Issu du quartier Hay El Wifak à Casablanca, il s’est fait rapidement un nom en devenant le rappeur du mouvement 20 février. Ses chansons audacieuses critiquent le régime politique au Maroc, le déni de justice et de démocratie, les droits bafouées et les privilèges des grandes familles marocaines dont la famille royale marocaine.

    Pourquoi il est en prison ?
    Le 9 septembre dernier, Mouad a été interpellé suite à une plainte du dénommé Mohamed D. pour coups et blessures. Mohamed D. est connu pour être un membre de ce qu’on appelle au Maroc « les baltajyas » ce groupe d’individus, souvent mobilisés par les élus locaux et les gens d’autorités, pour intimider et harceler les militants du mouvement 20 février.
    Mouad nie catégoriquement les faits et a présenté des dizaines de témoins à décharge qui étaient présents le jour des faits présumés et qui affirment que suite à une légère altercation entre les deux, Mohammed D s’en est allé normalement avant de simuler plus tard une blessure et d’appeler une ambulance. Mohammed D a fourni un certificat médical de 45 jours d’incapacité ce qui ne l’a pas empêché de participer dès la semaine suivante aux activités des « Baltajyas » pour intimider les manifestants du dimanche.

    Où en est la procédure ?
    Plus de 100 avocats marocains se sont portés volontaires pour assister Mouad L7a9eddans dans son procès. Ce qui n’a pas empêché le parquet de faire durer la procédure allant jusqu’à arguer l’impossibilité de contacter le plaignant !
    Le tribunal a refusé toutes les demandes de liberté provisoire présentées par les avocats. Par ailleurs il n’a toujours pas fixé une date du procès tout en maintenant Mouad en prison.
    Cette lenteur pour la fixation de la date du procès fait aussi des procédés de la justice marocaine qui bien souvent table sur l’affaiblissement de la mobilisation en faveur des prisonniers d’opinion avant de passer aux procès.

    Pourquoi Mouad est un prisonnier d’opinion ?
    Les autorités marocaines ont pour habitude d’utiliser les procès de droit commun pour faire taire les activistes et , plus souvent, les journalistes. La personnalité du plaignant, un membre des baltajyas, connu pour sa violence verbale et physique contre les manifestants du mouvement 20 février contraste avec celle de Mouad dont le casier juridique est vierge et qui est connu dans son quartier pour sa bonne conduite et sa droiture. Enfin, les témoins à décharge présent le jour des faits présumés ont tous déposés en défense de Mouad.
    Par ailleurs les autorités marocaines ne sont pas arrêtées à l’emprisonnement de Mouad mais se sont permises de traquer aussi ses soutiens et de les intimider. Le 20 octobre dernier la police a arrêté Nabil al-Qurafi, un témoin clé de la défense, puis Maria Karim du comité de ainsi que Abdelhaq le frère du rappeur. Les policiers les ont agressés et violentés dans l’impunité la plus totale . Par ailleurs les autorités marocaines ont interdit un concert de solidarité avec le rappeur dans une salle publique de Casablanca.
    Tout porte à croire que Mouad a été emprisonné pour avoir eu l’audace de composer des chansons cirtiquant le pouvoir et la famille royale marocaine.

    Bien avant qu’il soit emprisonné, Mouad avait prévu cette issuue dans l’une de ses chansons. Il dit :
    عانداك تدوي راهوم يغابروك_
    Si tu parles, ils te feront disparaître
    و غاندوي و غير غابروني_
    Mais moi je vais parler pour demander mes droits et qu’ils me fassent disparaitre
    عطيوني حاقي ولا قتلوني_
    Qu’ils me donnent mes droits ou qu’ils me tuent.

    Source avec également des photos et des videos : http://www.larbi.org/post/2011/11/M...

    Egalement sur le site de Arte un dossier complet :

    http://monde-arabe.arte.tv/le-rappe...

  • Le 21 novembre 2011 à 11:30, par Christiane En réponse à : Stop à la répression au Maroc

    Internationalistes 13

    Maroc. Nouvelles marches pour le boycott

    Hier dimanche 20 novembre, à 8 jours des élections législatives, des milliers et des milliers de Marocains sont à nouveau descendu dans dans la rue pour exprimer leur détermination de boycotter cette mascarade organisée par le pouvoir.

    Voici quelques videos

    Casablanca

    
www.youtube.com

    http://www.learnar.com/

    Taza !


    www.youtube.com
 ; 


 


    NADOR


    www.youtube.com

  • Le 23 novembre 2011 à 17:14, par Christiane En réponse à : Le 20 novembre 2011, des centaines de milliers de Marocains et Marocaines dans les rues pour le BOYCOTT

    Par Ali Fkir, 21/9/2011

    http://solidmar.blogspot.com/2011/11/le-20-novembre-2011-des-centaines-de.html

    Le 20 novembre 2011, des centaines de milliers de Marocains et Marocaines , et malgré les pluies torrentielles, sont descendu-es dans
    les rues pour crier haut et fort :

    BOYCOTTONS les "élections" makhzéniennes
    du 25 novembre 2011 !

     

    De Tanger au nord du pays aux frontières avec le Sahara Occidental au sud, de Casablanca à l’ouest aux frontières avec l’Algérie, les
    marocains libres jurent de ne pas s’approcher des isoloirs du makhzen, de ne pas cautionner les mascarades de la tyrannie.

    Le combat pour un nouveau Maroc continue !

     

    Exemple de vidéos des marches du 20 novembre 2011 à 5 jours de la mascarade.

    --------------------------------

    Tanger la résistante, à quelques dizaines de km de l’Europe dont les dirigeants chérissent la tyrannie marocaine

    http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=3JxeEItSMxA

    ------------------------------------

    La capitale économique du Maroc

    http://www.youtube.com/watch?v=-X4YlT90S8k

    --------------------

    Rabat, capitale administrative

    http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=W_2XugidpiI

     

    -----------------------

    Khouribga, la capitale minière du Maroc

    http://www.youtube.com/watch?v=Kak9rfb1iLo

    -----------------

    Imzourne (Rif) : nord du Maroc

    http://www.youtube.com/watch?v=tcNM_okMdgI&feature=player_embedded

     http://www.youtube.com/watch?v=fCQxusjR2wY

    ---------------------------

    Taza, versant ouest (vers le Maroc oriental) du grand Atlas

    http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=1Pu_BdizsPc

    ---------------------------

    Nador, le Rif oriental (nord est du Maroc)

    http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=mPQY48t_D6E

    http://www.youtube.com/watch?v=neg03wDUS6c&feature=player_embedded

    -----------------------------

    Mrirt, coeur du Moyen Atlas (à quelques km du centre minier), à 30 km de Khénifra la militante.

    http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=SALx2797KsM

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