Grâce à la mobilisation des militants associatifs quelques familles ont pu être prise en charge et trouver, au moins provisoirement des conditions de vie plus acceptables.
Un grand nombres d’entre elles, souvent les plus fragiles, se sont rapidement retrouvées à la rue et on été harcelées par la police qui avait reçu l’ordre de leur interdire tout stationnement. Des marseillais, avec l’appui de leurs élus, ont pris part à cette chasse en alertant les force de l’ordre à la moindre présence suspecte.
Depuis une semaine le Père Paul, curé de la Belle de Mai, a, à nouveau, ouvert son locale pour accueillir une quarantaine de femmes et d’enfants mais il sait que ce ne peut être une solution durable et il alerte les autorités pour sortir de cette scandaleuse situation.
A l’initiative de la LDH une lettre a été envoyé à Mr CADOT Préfet de Région qui a reçu le 28 août une délégation de trois personnes
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