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du 19 septembre au 17 octobre 2020 Marche nationale des sans-papiers
Article mis en ligne le samedi 10 octobre 2020
La préfecture de police de Paris a accepté que les marches de Sans-Papiers venues de tout le pays convergent à la place de la République le samedi 17 octobre et qu’une manifestation parte ensuite de cette place à 14h. Mais elle refuse pour l’instant que cette manifestation aille vers l’Elysée. Ci-dessous notre réponse.
Sommaire • page 4-8, Bois d’ébène : • Bois d’ébène – et chair à patron – et chair qui crie ! (page 4-5) • Cispm : manifestons devant les ambassades du Mali partout dans le monde ! (page 6) • La nouvelle révolution africaine (2) : Dire non, un premier pas (page 7) • développement, indépendance : Vive la coopérative ! (page 8)
Le mercredi 27 décembre 2017
Dans le langage des négriers blancs de glorieuse mémoire, les « bois d’ébène » étaient les esclaves noirs de la traite transatlantique, « or noir » de l’époque, valeur marchande absolue, sans égale. Pour ceux de nos jours, passeurs « arabes » et marchands d’hommes et trafiquants de même acabit (respectables hommes d’État et de société civile eurafricains), le « bois d’ébène » est le « migrant subsaharien », (...)
Le vendredi 29 septembre 2017
Ahmed Ali, le copain soudanais qui s’est opposé à son expulsion vers le Soudan hier, a été libéré par le tribunal de grande instance d’Aix le temps de son jugement qui est reporté au 27 avril prochain.
En faisant "obstruction à son éloignement", il s’est en effet exposé à des poursuites pénales, c’est pourquoi il avait été placé en garde à vue hier et comparaissait en comparution immédiate aujourd’hui. Lui (...)
Le mercredi 22 mars 2017
Il sera, entre autres, questions, des expulsions vers le Soudan et des manifestations dans les CAO et les CAOMI - Après une rapide présentation de l’ANAFE, Laure Blondel parle du dernier rapport d’observation, « Voyage au centre des zones d’attente »
Le dimanche 22 janvier 2017
Que des antifascistes soient plongés dans les gaz lors d’une manifestation contre l’extrême-droite, ce samedi 5 novembre, peut sembler un peu douteux en termes de choix politique répressif. Et pourtant, ce sont plusieurs centaines de personnes qui sont venues contrer les aboiements haineux du frontiste Stéphane Ravier et de sa clique de pitoyables petits réacs.
Le Front National, qui surfe sur la (...)
Le lundi 7 novembre 2016