Une vingtaine de présents.
1) Mobilisation du 1er février.
Confirmation du rassemblement devant la préfecture à 18h. Tract en PJ. Jean Pierre (fcpe) corrige "l’appel à la jeunesse", Erwan (udas) le met en page et transmettront sur la liste.
Il faut rapporter la banderolle RESF (c’est la cnt qui l’a ?) qui avait servi le 19/10.
Chaque organisation reproduit les tracts et les transmettent auprès de leurs adhérents qui eux mêmes les diffusent sur leurs établissements
Tractage samedi 28 janvier à 15h, angle Cannebière St Ferréol. Tous ceux qui peuvent venir... viennent !
apporter de la lumière (torches, lampions...)
Des badges resf sont commandés, mais pas sûr de les recevoir d’ici le premier février. A défaut, si certains savent où faire faire des autocollants qu’ils se manifestent, le logo du badge est en pièce jointe. Des brochures resf (guide pratique) seront aussi sur place (via Julien).
Un communiqué de presse sera rendu public une semaine avant. (Manu du sden cgt s’en occupe)
Cette journée nationale de mobilisation des resf s’organise un peu partout en France. On en entendra parler.
A nous de mobiliser sur Marseille.
2) Problème d’inscription des jeunes sans papiers
Au point accueil du 04/01 s’est à nouveau posée la question des élèves ou étudiants qui n’arrivent pas à s’inscrire en fac ou en apprentissage.
Pour avancer sur cette question difficile, il a été décidé :
de demander aux autres resf comment ils s’y prenaient
de contacter par courrier les organisations syndicales étudiantes, lycéennes et des personnels du supérieur pour aborder cette question, lors d’une réunion avec le resf, afin d’envisager les initiatives les plus appropriées (demande d’audience aux administrations universitaires, mobilisations sur les facs...).
Ceci ne règle pas la question des élèves qui veulent suivre un apprentissage mais dont la chambre des Métiers refusent l’inscription parce que sans papiers.
3) Cas individuels
collectif de la famille N’recaj : une nouvelle pétition va circuler.
familles de la rue Fiocca :expulsées de leur squatt en novembre, logées dans deux hôtels depuis et ce jusqu’au 31 mars.
Celles de l’hôtel Sévigné (26 rue de Breteuil) sont brimées par l’hôtellier : menaces de les virer (il en a déjà virée une), insultes, coupures d’eau chaude et de chauffage incessantes.
L’anef, l’association désignée par la préfecture pour relogées ces familles après leur expulsion, a été contactée sur cette situation mais ne fait rien. Ldh au courant. Par ailleurs rien n’est encore prévu après le 31 mars. Et côté papiers, rien n’a bougé côté préfecture qui s’était pourtant engagé à réétudier la situation administrative de ces familles.
Décision a été prise de rencontrer l’anef (demande de rdv par courrier) au sujet des problèmes à l’hôtel Sévigné et sur ce qu’il est prévu pour ces familles après le 31 mars.
Possibilité de porter plainte par les familles directement ou par une association (ldh ?), ce ne serait pas la première fois que cet hôtelier se montre violent.
D’ici le 31 mars, il faut remobiliser dans les établissements où les enfants suivent leur scolarité. Si vous connaissez des parents d’élèves ou profs dans ces établissements, dîtes leur qu’on les convie à venir au prochain point accueil resf du 1er février à la Cimade (8 r JM Cathala, 2è)
écoles : Major, Evêché, François Moisson 1, François Moisson 2, La Paix, Eydoux, Korsec, Convalescents,
collèges : Vieux Port, Edgard Quinet , A. France
Lep Le chatellier
Florimond