Suite à la mise en rétention de Mme Plieva, et la tentative des forces de l’ordre d’y mettre aussi ses enfants en allant les chercher dans l’école (voir communiqué de presse : http://www.educationsansfrontieres....), le Réseau Education sans Frontières de Nîmes vous appelle à faire savoir aux décideurs votre ferme opposition à ces pratiques.
Nous vous demandons également d’envoyer des courriels, ou de téléphoner pour affirmer vos convictions.
Vous pouvez utiliser le texte ci-dessous ou rédiger un texte personnel.
TEXTE PROPOSE :
Monsieur le Préfet,
Lundi 6 mai 2013 au soir, Mme Plieva K., suite à une arrestation dans la rue, a été enfermée au centre de rétention administrative (CRA) de Nîmes. Fuyant un pays dévasté par la guerre civile, puis un mari violent, elle vit seule avec ses deux jeunes enfants Zacre et Aioup, scolarisés à Nîmes.
Mme Plieva est dans une grande vulnérabilité du fait de sa santé fragile. Elle est maintenant enfermée, séparée de ses jeunes enfants. Ceux-ci souffrent sans leur maman. L’article 3-1 de la Convention Internationale des Droits de l’Enfant (CIDE), dit que : « Dans toute situation qui concerne un enfant, il faut que l’intérêt supérieur de l’enfant soit la considération primordiale. »
Il n’est donc pas question qu’ils soient emprisonnés au CRA, et il faut que leur mère soit libérée pour reconstituer le cadre familial. Zacre et Aioup doivent pouvoir retourner en classe sans aucun risque de se voir conduire en rétention puis expulsés.
La demande de régularisation de Mme Plieva doit pouvoir être examinée dans des conditions optimales de sécurité et de sérénité. Elle doit donc pouvoir bénéficier d’une autorisation de séjour jusqu’à la fin de la procédure, y compris les recours éventuels qui pourraient suivre.
Cette famille peut compter sur mon soutien le plus total face à la brutalité des mesures qui la frappent. Je vous demande instamment la libération de Mme Plieva et l’étude approfondie de son dossier.
COORDONNEES :
Préfecture du Gard :
Téléphone : 04.66.36.40.40 Télécopie : 04.66.36.00.87
Mail : contact chez gard.pref.gouv.fr
Préfet : M. Hugues BOUSIGES - 04.66.36.40.02/ 03 / Fax : 04.66.36.40.10
mail : hugues.bousiges chez gard.pref.gouv.fr
Directrice de Cabinet Julie BOUAZIZ :
julie.bouaziz chez gard.pref.gouv.fr
Pole Immigration, intégration et identité nationale
04.66.36.42.13 - fax 04 66 36 00 87 ou _ 04.66.36.41.78
courriel : etrangers.contact chez gard.pref.gouv.fr
marielle.pernet chez gard.pref.gouv.fr
Article du Midi Libre de ce matin : http://www.educationsansfrontieres.org/article46712.html
Vous pouvez signez la pétition en ligne sur :
http://www.educationsansfrontieres....
Pétition :Libérez et Régularisez Mme Plieva K
Lundi 6 mai 2013 au soir, Mme Plieva K., suite à une arrestation dans la rue, a été enfermée au centre de rétention administrative (CRA) de Nîmes.
Fuyant un pays dévasté par la guerre civile, puis un mari violent, elle vit seule avec ses deux jeunes enfants Zacre et Aioup, scolarisés à Nîmes. Mme Plieva est dans une grande vulnérabilité du fait de sa santé fragile. Elle est maintenant enfermée, séparée de ses jeunes enfants. Ceux-ci souffrent sans leur maman.
L’article 3-1 de la Convention Internationale des Droits de l’Enfant (CIDE), dit que : « Dans toute situation qui concerne un enfant, il faut que l’intérêt supérieur de l’enfant soit la considération primordiale. » Il n’est donc pas question qu’ils soient emprisonnés au CRA, et il faut que leur mère soit libérée pour reconstituer le cadre familial. Zacre et Aioup doivent pouvoir retourner en classe sans aucun risque de se voir conduire en rétention puis expulsés. La demande de régularisation de Mme Plieva doit pouvoir être examinée dans des conditions optimales de sécurité et de sérénité. Elle doit donc pouvoir bénéficier d’une autorisation de séjour jusqu’à la fin de la procédure, y compris les recours éventuels qui pourraient suivre. Cette famille peut compter sur mon soutien le plus total face à la brutalité des mesures qui la frappent. Je vous demande instamment la libération de Mme Plieva et l’étude approfondie de son dossier.
Vous pouvez aussi demander sa libération par mails/ Fax ou téléphone
Midi Libre Nîmes : Une maman tchétchène placée en centre de rétention http://www.educationsansfrontieres....