Hambourg, porte vers le monde. Un monde pour lequel des scénarios de catastrophe toujours plus clairs se dessinent au fil des mois. Un monde qui périt, pour que tout puisse rester en l’état. Un monde dans lequel les marchandises circulent librement alors que des personnes meurent chaque jour aux frontières. Dans lequel le profit est placé au-dessus des moyens de vie de l’humanité.